J’ai passé une bonne nuit sans avoir froid. Le temps était plus chaud, malgré la pluie en soirée, mais c’était plus sec… à l’intérieur… curieusement! Malgré la proximité de la route 132, aucun bruit ne m’a importunée. Seule une chaleur %$#$% m’a réveillée vers 3h du matin!!!

J’ai réussi à mettre Criquette à niveau en deux temps trois mouvements en arrivant au parc hier, ce qui m’aurait demandé beaucoup plus de temps à mes débuts en 2016. J’arrive maintenant à me déplacer, m’installer, m’organiser en toutes circonstances sur la route, devant l’inconnu et cela seule, – non pas seule mais accompagnée de Mado, une fière femme de 60 ans! 😉

Je quitte le parc à 9:15. L’air sent bon. Le vent est enveloppant. Ensoleillé et déjà près de 20 degrés.

La route est belle. Il y a un trafic FOU en direction ouest. Heureusement, je roule vers l’est!

12:15 – Je fais un arrêt – plutôt deux, à Rimouski pour faire le plein d’essence, le plein d’eau de Criquette à la station d’essence, suivi d’une vidange des eaux grises à la station de la ville. Trop tôt pour les eaux noires. Ça ira à mercredi. Peut-être jeudi. Non mais, plus intime que ça tu meurs!

Depuis Le Bic jusqu’à Pointe-au-Père, où je m’installe pour le lunch vers 13h, la côte est enveloppée d’une épaisse brume de mer, faisant ainsi chuter la température de 20°C à 15°C. Moins de 30 minutes après mon installation au quai, la brume se dissipe et laisse place à un timide ciel bleu nuageux.

L’entrée sur le site historique maritime de la Pointe-au-Père ne laisse pas indifférent. À droite, un majestueux phare vous prend de haut; pis à gauche, un sous-marin noir qui n’en finit plus d’être long!!!

Selon le guide « Explorez la Gaspésie », le sous-marin donne l’occasion de visiter le premier sous-marin accessible au public au Canada. Un audio-guide permet de découvrir la vie à bord de ce type de navire très particulier, en plus d’en connaître davantage sur les différentes technologies utilisées, tant du point de vue de la propulsion que des instruments de navigation et de sécurité. Les plus curieux pourront mpemn passer une nuit è bord et expérimenter la vie de sous-marinier. J’ai visité un sous-marin en Norvège… Faut pas être claustrophobe! Mais autrement, ça vaut le coup et le coût! 🙂

Ce site accueille également le Musée de l’Empress of Ireland qui possède une belle collection d’objets récupérés de l’épave et raconte l’histoire du navire et la tragédie de manière détaillée.

15:30 – Je pars un peu tard de Pointe-au-Père avec l’idée de me rendre à Causapscal (ça fait dix fois que je regarde comment écrire ce nom pas prononçable!!). Le ciel est incertain et je n’aime pas conduire sous la pluie forte, surtout avec une roulotte derrière. Puis je varnousse depuis 7:30, donc j’ai hâte de me poser. Et de me pauser. Je m’installe donc à l’arrière de

20:45 – Il tonne, mais il TONNE comme jamais je n’ai entendu à vie!!! Mado est terrorisée… Il pleut intensément depuis plus d’une heure. Je jette un oeil de temps à autre pour voir si je devrai sortir ma veste de flottaison… 21:20 – Ça lâche pas! Le tonnerre a détalé, mais la pluie n’a de cesse à pleuvoir!

Ah pis M. Tonnerre qui me gronde à l’instant…

PS: Que mes amis photographes me pardonnent la piètre qualité d’image prises par Ti-Gars, il n’est pas équipé d’une lentille de grande qualité photo. Malgré le post-traitmoenet, le piqué est mauvais, pas de contraste, les angles sont tordus, les couleurs étranges, etc. Assez médiocre, pas des images qui seraient présentables en impression, mais à l’écran ça peut passer. Acceptable pour un drone, mais il s’en sort mieux avec la vidéo. C’est un drone de débutant qui me sert à pratiquer mes prises de vue en attendant que le modèle que je souhaite acquérir soit sur le marché en début 2022. Ça presse pas! 🙂

Distance parcourue: 320 km