Seules au monde

Dimanche, 14 août 2016 – Des bourrasques encore plus redoutables qu’hier me réveillent à 5h. Je regarde mes deux voisins affairés aux préparatifs du départ. Le traversier (gratuit) ne prend pas les réservations, donc ils veulent partir tôt pour se mettre en ligne et ainsi s’assurer une place. Je sors les saluer, on s’échange nos courriels et on se dit « à la prochaine ». J’aime ces amitiés spontanées, sans filtre et éphémères.

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